SG2 – Victoire de MEYLAN sur les terres du GUC !!!

La fistinière de Memeth.

Comme d’habitude nous avons pris nos voitures pour nous rendre en terre inconnue (enfin pas pour
tout le monde a priori, voir plus loin) : à Echirolles.
Ce déplacement fut à bien des égards particulièrement déroutant et douloureux, tant d’un point de
vue visuel, tactile, qu’acoustique.
Le match en lui-même a vrai dire n’a pas vraiment d’intérêt. Pour reprendre un magnifique résumé
de l’un de mes comparses : passe passe but but faute passe etc….. Le tout pendant 60 minutes !
Finalement, je ne sais pas vraiment ce qui m’a le plus perturbé dans ce déplacement.
Tout d’abord, sur le trajet, enfin presque arrivé, nous cherchions une place et le conducteur, quoique
nettement plus âgé que moi, nous a appris, chose dont on se serait parfaitement passé soit dit en
passant, qu’il venait de reconnaître l’hôtel ou dans sa jeunesse d’après seconde guerre mondiale, il
avait découvert les films pour adultes !!!!!
Le décor était alors planté pour un après midi tourné vers les pratiques sexuels les plus inavouables
dont seul l’être humain a le secret. Comprenez bien que la censure (mais sans la nommer je peux ici
dire que son patronyme commence par M et fini par E) ne laissera aucunement passer le descriptif
non exhaustif que j’aurai pu faire afin d’informer ici le lecteur sur la dure réalité de ce déplacement
et lui permettre un début d’éducation sexuelle que l’éducation nationale refuse toujours de faire !
Le deuxième traumatisme de ce déplacement allait survenir à ma grande surprise assez rapidement.
Je croyais que nous avions tous eu du matériel généreusement offert par notre club bien aimé
Meylan-Handball. Cette générosité me semblait permettre une certaine harmonie visuelle
permettant une communion parfaite entre joueur et permettant surtout à certain ayant des
problèmes de vues de ne pas se tromper de coté d’échauffement… Comment dans ce cas expliquer le
deuxième saignement, visuel cette fois, d’avoir laissé s’échauffer l’un d’entre nous (que je ne
nommerai pas non plus pour sa propre sécurité) avec un pull en laine que même Thiery LHERMITE
n’aurait pas mis pour descendre les poubelles, mais qui pourtant était arboré fièrement !!!
Terminons pas le troisième traumatisme. Anal celui-ci… oui ça y est j’ai dit le mot et déclencher la
fureur des censeurs. Mais je manquerais à tout mes devoirs si je n’avais pas ici osé appeler Un chat
……. Un chat (ou Une passe une passe pour reprendre le jargon handballistique de notre coach
unique et préféré) !
Cette pratique donc que l’appelle plus communément grâce a Jackie et Michel, le fist-fucking (je
viens ici de signer mon bannissement a vie et m’expose a des représailles que je sais terribles !!) nous
a donc été offerte (ou imposer tout dépend du point de vue) par l’arbitre international qui officiait ce
jour là !
Il avait pourtant l’air sympathique, le sourire facile bref un être humain normalement constitué et
fort bien éduqué de prime abord.

J’avoue avoir pris très longtemps pour écrire cet article (mais moins d’un an tout de même). Avec le
recul je n’arrive pas à m’ôter de l’esprit que dans ses sourires et formules de politesse, il n’y avait
déjà les prémices de l’introduction d’objet aussi insolites que gros, j’imagine même qu’il a du
imaginer des pastèques tellement son sourire était vicieux, dans un endroit que je nommerai pas
mais qui, si vous avez bien suivi cette longue énumération de traumatisme, n’est pas l’endroit le plus
approprié qu’il soit !!!!
Vous comprendrez bien qu’après autant de traumatisme et malgré une expérience, somme toute
moins importante que certain de mes camarades, (au nombre de 3 et dont la somme des âges
dépasse les 110 ans !!!), je n’ai pu jouer au niveau convenable et attendu. Je confirme d’ailleurs ici
qu’il n’y a pas de pétroles non plus à Echirolles pour ceux que cela intéresse, vérifiant ainsi une
publicité que les moins de 37 ans ne peuvent pas connaître : En France on a pas de pétrole mais on a
des idées.
C’est donc par pur dévouement envers mes camarades que je me suis (encore) dévoué et acceptais
la lourde mais néanmoins intéressante tache d’être totem.
J’ai bien entendu plein de monde à remercier mais l’énumération serait longue, fastidieuse et
n’aurait ici absolument aucun intérêt. Je terminerai donc plutôt par une réplique que notre jeunesse
alerte, espiègle et curieuse connaît déjà parfaitement :

Merci qui ?

Merci Jackie et Memeth !

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